Johanne Gour Danse
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Mon cœur s'allonge comme une éponge... ​

« Une empreinte chorégraphique polyvalente et abstraite pour traiter du corps comme porteur de sens. »
​– Léa Villalba, Bible urbaine, 2017 

Mon cœur s'allonge comme une éponge... que l'on plonge dans un gouffre de souffre. Sur cette comptine ancienne, on découvre la danse tiraillée d’une marche solitaire. La gestuelle intimiste contraste avec la force des mouvements déployés. Témoignage d’une quête sans apaisement. Intimité. Force et fragilité. Métamorphose.

Ce solo, mûri dans la confiance d’une longue association entre l’interprète et la chorégraphe, porte les signes de l’enfermement que les conditions particulières du confinement lui ont imposées (travail sur Zoom). Mais, heureusement, le souffle de la liberté lui redonne un peu d’espace! 
« Je suis subjuguée par le détail et la précision des mouvements qui se succèdent et qui confèrent un pouvoir mystérieux à l’ensemble. Toute la pièce a été composée, travaillée en précision pour faire naître le ressenti. »
​– Johanne Gour
« Distorted classical lines and arbitrary movements that feel intimate, vulnerable and fragile. A new vocabulary that uses technique but is also free of its constraints. »
​ – Alexandra MacLean 
Chorégraphe : Johanne Gour
Interprète : Alexandra MacLean
Assistante aux répétitions : Julianne Decerf
Assistante à la dramaturgie : Luce Lainé
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ÉQUIPE

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CHORÉGRAPHE

Johanne Gour est particulièrement fascinée par l’articulation de la forme du corps humain. En voie de compléter une maîtrise en création à l'UQAM, elle s’intéresse au mouvement pour sa mécanicité, sa rythmique et son organisation, tout autant que sa capacité expressive. Par ses procédés de modulation subtile, Johanne Gour façonne une œuvre abstraite portant une atmosphère singulière. Johanne Gour a présenté plusieurs créations depuis une dizaine d’années, tant au Gesù, pour l’événement Liens et lieux qu’elle produisait, que durant certains festivals, comme le Festival Fringe de Montréal.

 INTERPRÈTE

 ASSISTANTE À LA DRAMATURGIE

ASSISTANTE AUX RÉPÉTITIONS

Photo






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​Alexandra MacLean
 est l’interprète tout indiquée pour ce solo exigeant, de par sa qualité technique et sa sensibilité à fleur de peau. Titulaire dès 2012 d’un BFA en Danse de la Fordham University et Ailey School de New York, elle a déjà travaillé avec Johanne Gour pour la création de L'imprévisible forme des corps aux lendemains de la vie, présentée en 2017. Elle a aussi dansé, entre autres, pour la Dakshina/Daniel Phoenix Singh Company (Washington DC, 2014), le Ballet Eddy Toussaint (2018/2019) et pour l’artiste visuel Chun Hua Catherine Dong (MAI de Montréal, 2016).

Photo© Julie Artacho

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​Luce Lainé intègre le Conservatoire de Paris en danse contemporaine, où elle obtient son diplôme de fin d’études chorégraphiques en 2017. Curieuse du monde qui l’entoure, elle poursuit son parcours à l’École de danse contemporaine de Montréal.

​Luce aime faire des liens avec l’art et la philosophie, le corps et l’esprit. En 2018, elle commence la pratique du mouvement authentique avec Sarah Dell’Ava, ce qui lui permet de développer davantage l’écoute de son corps et la rencontre avec celui des autres. Sensible à la transversalité des arts, Luce intègre souvent la voix à sa danse. Durant sa formation, Luce travaille avec différents chorégraphes tels que Marc Boivin, Manuel Roque, Lucie Grégoire, Sophie Corriveau, le collectif La Tresse, Hélène Simard, Jason Martin et Clara Furey.

Photo© Julie Artacho
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​Julianne Decerf
a suivi une formation à l'École de danse contemporaine de Montréal (QC) d'où elle gradue en 2020. Elle a la chance d’y rencontrer plusieurs chorégraphes et compagnies, dont Clara Furey, Manuel Roque, Sophie Corriveau, Dany Desjardins, le collectif La Tresse, ou encore Marc Boivin. 

​Pendant la pandémie, elle a travaillé sur un projet de solo participatif et interactif sur Facebook. À l'issue de ce projet, elle a créé la vidéodanse, Le solo aux mille chorégraphes, diffusée par le festival Ceci n'est pas un Fringe. Elle initie et dirige également le projet de vidéodanse La déferlante des monstres en mai 2021. Julianne apprécie particulièrement accompagner les créations dans leur processus de réalisation et mettre en valeur le travail chorégraphique et l’identité des interprètes avec qui elle échange.


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